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Global Fixed Income Bulletin
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octobre 27, 2022

Comment la gestion obligataire peut-elle à nouveau générer un revenu ?

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octobre 27, 2022

Comment la gestion obligataire peut-elle à nouveau générer un revenu ?


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Comment la gestion obligataire peut-elle à nouveau générer un revenu ?

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octobre 27, 2022

 
 

La déroute du marché obligataire, qui s'est poursuivie en septembre, aurait même pu être encore pire sans un rebond marqué lors des trois derniers jours du mois. Les déboires des marchés obligataires sont dus à une kyrielle de facteurs : des chiffres de l’emploi meilleurs que prévu aux États-Unis, une inflation plus élevée qu’escompté ou encore le relèvement prononcé des taux terminaux par la Réserve fédérale américaine (Fed). Ces facteurs ont été aggravés par la correction - peu glorieuse - du marché obligataire britannique lors de la seconde moitié du mois. Les rendements des émissions souveraines et les spreads de crédit ont fortement augmenté en septembre. Les marchés du crédit ont beaucoup souffert de la hausse des rendements, des turbulences au Royaume-Uni et, surtout, de la probabilité croissante d'une récession ou d'un atterrissage brutal de l’économie. Et sans surprise, le dollar américain a encore démontré sa vigueur en gagnant du terrain face à presque toutes les autres devises. Voilà pour les mauvaises nouvelles.

 
 

Passons aux bonnes. Les rendements dans l'univers obligataire ont atteint des niveaux qui devraient offrir une protection satisfaisante contre une nouvelle hausse des taux. Par exemple, celui de la dette « investment grade » à 10 ans des établissements financiers est proche de 6 %. Même si les rendements/spreads augmentaient encore de 50 à 75 points de base (pb), les performances totales devraient être positives sur des périodes de 12 mois, ce qui constitue un changement majeur par rapport au début de l'année. Nous pensons par ailleurs que l'économie finira par ralentir, que les pressions inflationnistes s'atténueront et que les rendements des emprunts d'État diminueront, autant de tendances qui devraient également réduire l'impact d’un élargissement potentiel des spreads.

L’actualité s’est révélée défavorable aux obligations en septembre. Qu'il s'agisse du marché du travail américain, qui ne montre aucun signe imminent de ralentissement, ou de l'inflation américaine (IPC sous-jacent) dont la variation mensuelle est passée de +0,3 % à + 0,6 %. Sur le front de l’inflation, les nouvelles en provenance d'Europe et d’autres régions n’ont pas été meilleures. C’était à prévoir. Selon nous, l'inflation en zone euro restera à supérieure à 10 % au moins jusqu'en 2023. Les politiques budgétaires nationales étant assouplies dans des proportions différentes, le pilotage de la politique monétaire européenne risque de devenir une tâche compliquée en raison des divers dispositifs de soutien accordés aux ménages et aux entreprises. Quel que soit le pays développé concerné, il semble que les banques centrales n’ont pas suffisamment augmenté leurs taux d'intérêt. Même en Australie, où la banque centrale a surpris les marchés en ne relevant les taux « que » de 25 pb - au lieu des 50 pb prévus, le resserrement total prévu est resté inchangé.

 
 
 
GRAPHIQUE 1 : Performance des actifs depuis le début de l'année
 

Note : performances en dollar US. Source : Bloomberg. Données au 30 septembre 2022. Les performances des indices sont fournies à titre indicatif uniquement et n’ont pas vocation à illustrer la performance d’un investissement spécifique. Les performances passées ne sont pas un indicateur fiable des performances futures. Voir la définition des indices ci-après.

 
 

L'impact des mauvais chiffres d’inflation a été particulièrement marqué sur les rendements réels. Le rendement réel des obligations américaines à 10 ans a augmenté de près de 100 pb, une évolution rarement observée sur une période de seulement un mois. Cela signifie naturellement que les anticipations d'inflation ont diminué au cours du mois (les rendements nominaux à 10 ans n'ont pas augmenté autant, d’où la baisse des points morts d'inflation à 10 ans). La Fed semble donc avoir gagné en crédibilité dans sa lutte contre l'inflation. Autrement dit, le marché croit de plus en plus au discours de la Fed selon lequel elle augmentera les taux « quoi qu’il en coute » pour ramener l'inflation vers son objectif (environ 2 %). Ces tendances laissent également augurer une récession de plus en plus probable en 2023 ou une longue période de croissance inférieure à sa tendance, condition sine qua non pour faire baisser l'inflation de manière significative.

Les marchés ont aussi pâti des événements survenus au Royaume-Uni. Un mouvement de vente sans précédent, d'abord sur les emprunts d'État britanniques à long terme, puis sur d'autres obligations libellées en euros et en dollars, a entraîné des fluctuations prononcées des rendements des emprunts d'État britanniques et une baisse significative des prix des obligations d'entreprises et des obligations titrisées. Par exemple, le rendement des emprunts d'État britanniques à 30 ans a progressé régulièrement au cours du mois jusqu'au 27/28 septembre, lorsqu'il a soudainement augmenté de 94 pb, pour retomber de 105 points de base le 28 septembre, après l’annonce par la Banque d'Angleterre (BoE) de l’achat de milliards de livres de gilts à long terme pour assurer la stabilité financière. Cette mesure a manifestement contribué à stabiliser le marché, mais les rendements des emprunts d'État à 30 ans ont ensuite ré-augmenté de 46 pb au 7 octobre. Le marché des gilts indexés sur l’inflation, un marché gigantesque servant principalement aux compagnies d'assurance et aux fonds de pension britanniques, a vu sa volatilité exploser. Cet épisode a constitué la première « rupture » par rapport à la tendance haussière rapide des rendements en 2022. Ce sont bien sûr les effets de levier qui ont déclenché ces tendances, comme c'est souvent le cas lors des crises financières. Une question se pose désormais : les portefeuilles des investisseurs dissimulent-ils encore des actifs dépréciés ?

 
 
 
GRAPHIQUE 2 : Variations mensuelles des devises par rapport au dollar US
 

Note : Un changement positif signifie une appréciation de la devise par rapport au dollar US. Source : Bloomberg. Données au 30 septembre 2022

 
 
 
GRAPHIQUE 3 : Principales variations mensuelles des rendements à 10 ans et des spreads
 

Source : Bloomberg, JP Morgan. Données au 30 septembre 2022.

 
 

Perspectives des marchés obligataires

On peut tirer une première conclusion des événements et des mouvements de marché en septembre : il est encore trop tôt pour anticiper un changement de cap des banques centrales et une baisse de l'inflation. Selon toute vraisemblance, les hausses de taux prévues actuellement par les grandes banques centrales sont le minimum auquel il faut s’attendre compte tenu de la persistance de l'inflation et de la fermeté des marchés du travail. Aux États-Unis, malgré le ralentissement économique important enregistré cette année, présentent toujours un déséquilibre important entre l'offre et la demande globales, non seulement sur le marché du travail mais aussi dans l'ensemble de l'économie. Bien que le pays ne subisse pas le choc énergétique auquel l'Europe est confrontée, la tendance des salaires et des recrutements aux États-Unis (tant réelle que prévue) semble être trop élevée, ce qui oblige la Fed à revoir ses prévisions de taux et la trajectoire de ses futurs relèvements d’ici le reste de l'année. La Fed a également prévenu que d’autres hausses des taux étaient à prévoir si la trajectoire fixée ne suffisait pas. Compte tenu de la persistance de l'inflation, les conditions financières (c'est-à-dire les taux, les rendements des échéances plus longues et les spreads de crédit) devront rester restrictives pendant une longue période afin de vraiment juguler l'inflation. Une telle tendance devrait empêcher une hausse durable des rendements et des spreads. Les rebonds auxquels nous avons assisté en juillet et les derniers jours de septembre ont été de courte durée car la Fed n’a pas, comme espéré, infléchi son discours.

Bien entendu, à mesure qu’elle fera monter les enchères, la probabilité d'une « surréaction » (un resserrement trop important de la politique) augmentera et pourrait peser sensiblement sur l’économie, voire provoquer un accident financier. La volatilité observée au Royaume-Uni ces dernières semaines est un avertissement pour les investisseurs, qui doivent désormais remettre à plat la composition de leur portefeuille pour pouvoir supporter l’augmentation des rendements. Comme d'habitude, les tensions au sein du système financier et la boucle de rétroaction négative sur l'économie sont liées à l’augmentation de l’effet de levier. Les difficultés du marché obligataire britannique ne sont pas dues à la solvabilité mais à l'effet de levier. Concrètement, cela signifie emprunter pour augmenter ses performances. « Vivre par l'épée et mourir par elle ». Il est difficile d’évaluer l'ampleur de l'effet de levier financier du secteur privé dans l'économie mondiale, mais les écarts de performance futurs entre émetteurs dépendront essentiellement de son niveau. La Fed a été claire à ce sujet. Préparez votre bilan et votre portefeuille d'investissement à un ralentissement de l’économie et à une hausse marquée et durable des rendements.

Ces 25 dernières années, lorsque des problèmes apparaissaient, les banques centrales, en particulier la Fed (la « banque centrale mondiale »), offraient un filet de sécurité aux marchés pour mieux résister aux difficultés. Si les hausses de taux étaient trop douloureuses, la politique monétaire était vite infléchie. Mais la situation actuelle est bien différente. L’inflation est trop forte. La demande trop soutenue. L'offre trop faible. Et les taux de chômage trop bas. Sans le dire explicitement, les banques centrales verraient d’un bon œil toute remontée du chômage si elle peut aider à réduire l'inflation. Concrètement, à moins d'une évolution radicale de l'économie et du marché du travail, même une embellie modeste des offres d'emploi, des embauches et même de l’inflation ne feront pas changer d'avis la Fed. Et ces améliorations potentielles devront perdurer pendant de nombreux mois.

Quelles conséquences pour les marchés obligataires ? Les obligations européennes restent confrontées aux taux d'inflation les plus élevés au monde. On voit généralement l'Europe comme le terreau parfait pour une inflation faible et une stagnation à long terme. Elle est aujourd’hui entrée en stagflation. Selon nous, les obligations vont encore souffrir. La Banque centrale européenne (BCE) va tenter de relever suffisamment les taux pour faire baisser l'inflation tout en sachant qu'une proportion importante de l'inflation, peut-être 40 à 50 %, est due à des facteurs qu'elle ne maîtrise pas (comme l’énergie). Mais, ce qu'elles ne peuvent pas faire, c'est de laisser une spirale inflationniste et l'inflation actuelle s'ancrer dans l'économie, même à des niveaux nettement inférieurs à ceux d'aujourd'hui. La bonne nouvelle, c'est que les marchés obligataires l'ont compris et intègrent les hausses significatives des taux d'intérêt, tout comme les spreads de crédit. Malheureusement, il est encore trop tôt pour déclarer que la situation est sous contrôle. Le risque est une nouvelle hausse des rendements, même au prix d'un ralentissement économique plus profond.

L'économie américaine est l’une des plus résilientes des pays développés. C'est à la fois une bonne et une mauvaise nouvelle. En effet, cela signifie d’une part que les marchés du crédit américains restent fondamentalement solides. Mais aussi, d’autre part, que la solidité des bilans du secteur privé et sa capacité à générer des revenus vont compliquer la tâche que s’est fixée la Fed, à savoir ralentir l'économie. Un atterrissage en douceur est encore possible, mais ce scénario devient moins plausible. Rien ou presque ne pourra empêcher les rendements américains à 10 ans de franchir le seuil des 4 % d’ici le reste de l'année. Et bien que les obligations soient clairement plus attractives qu’en juillet, nous pensons que les difficultés vont encore s’accumuler et que les investisseurs doivent attendre avant d’accroître les risques de taux et de crédit dans leurs portefeuilles. La plupart des marchés émergents, qui sont à un stade plus avancé de leur processus de relèvement des taux, restent exposés à une inflation trop élevée et à de nouvelles hausses de taux.

Taux et devises des marchés développés

ANALYSE MENSUELLE

Le mois de septembre a été tout sauf ennuyeux sur les marchés de taux des pays développés. Les rendements se sont globalement inscrits en hausse, tandis que la volatilité a atteint des niveaux historiques. Le marché obligataire britannique a notamment été confronté à de graves perturbations après l'annonce de réductions d'impôts massives et d'une crise potentielle des fonds de pension, qui se sont répercutées sur les marchés mondiaux. Dans le monde entier, les banquiers centraux ont clairement indiqué que la lutte contre l'inflation était leur seul objectif, même si cela devait fait ralentir la croissance. Par conséquent, les rendements, notamment réels, ont augmenté.1

PERSPECTIVES

Alors que les banques centrales continuent de resserrer leur politique monétaire, un « atterrissage en douceur » semble de moins en moins probable. Par conséquent, les taux devraient rester élevés pendant relativement longtemps et la volatilité ne devrait pas disparaître en raison de la persistance des incertitudes. En ce qui concerne les devises, le dollar américain bénéficie du resserrement de la politique de la Fed et des préoccupations croissantes concernant la croissance mondiale. Nous pensons que cette tendance va se poursuivre.

Taux et devises des marchés émergents

ANALYSE MENSUELLE

La dette des marchés émergents a cédé du terrain en septembre après un rebond entre la mi-juillet et la mi-août. L'indice des émissions d’entreprises de l'univers émergent a une fois de plus été le plus performant. La hausse des rendements des bons du Trésor américain a pesé sur les indices libellés de devises fortes en raison de leurs profils relativement longs en duration aux États-Unis.2

PERSPECTIVES

L'environnement macroéconomique reste assez compliqué en raison du durcissement marqué des politiques monétaires de la plupart des banques centrales, du ralentissement de la croissance mondiale, de la vigueur du dollar américain, du ralentissement de la Chine et de la guerre entre la Russie et l'Ukraine. Nous pensons que les événements macroéconomiques continueront à influencer fortement le sentiment du marché. Cela étant dit, les valorisations dans l'univers de la dette émergente semblent davantage intégrer ces risques que de nombreux autres segments des marchés financiers internationaux. Nous suivrons attentivement les résultats du 20è Congrès du parti communiste et nous pensons que le président Xi Jinping conservera son autorité suprême. Nous pensons que les marchés porteront leur attention sur les écarts de valorisation entre pays et crédits.

Obligations d’entreprises

ANALYSE MENSUELLE

Les obligations d’entreprises américaines IG ont surperformé leurs homologues européennes. Dans l’ensemble, les financières ont sous-performé les non-financières, les émissions BBB ont fait moins bien que les émissions mieux notées et les spreads des titres à courte échéance se sont plus élargis que ceux à échéance longue. Au cours du mois, les prix sont restés influencés par l’actualité macroéconomique, les marchés ayant réagi aux décisions et aux prévisions des banques centrales en réponse à l'inflation élevée.3

L’ambiance s’est tendue sur le marché du haut rendement en septembre en raison des inquiétudes croissantes quant à la trajectoire de la politique monétaire. Le volume des transactions est resté relativement modeste et les investisseurs ont privilégié les titres de bonne qualité face à la montée des craintes économiques. Les segments de qualité supérieure du marché du haut rendement ont globalement surperformé. Sur le mois, ce sont les secteurs des transports, de l’énergie et de la production d’électricité qui ont enregistré les meilleures performances.4

Les obligations convertibles mondiales ont chuté dans le sillage des autres actifs risqués en septembre. Bien qu’il ait terminé le mois dans le rouge, l’indice Refinitiv Global Convertibles Focus a surperformé les indices MSCI Global Equities et Bloomberg Global Credit. Les convertibles ont bénéficié d'une convexité favorable lors du trimestre écoulé car elles ont atteint leur niveau plancher et ont gagné en stabilité malgré le mouvement de baisse.5

Le marché des prêts senior à taux variable aux entreprises s’est encore distingué malgré la forte volatilité des marchés financiers en septembre, grâce à des pertes moins marquées que les marchés actions et obligataires. Cependant, les prêts n'ont pas échappé à la morosité des investisseurs et à la ruée vers les segments de bonne qualité en septembre.6

PERSPECTIVES

Les valorisations de marché prévoient une très nette dégradation des notations de crédit et des taux de défaut. Selon nous, les fondamentaux des entreprises résistent bien et elles ont renforcé leurs liquidités au cours des derniers trimestres, sans oublier les mesures d’économie mises en œuvre pendant la crise sanitaire. Les marges vont subir des pressions et les objectifs de chiffre d'affaires difficiles à atteindre, mais étant donné le niveau de départ, nous pensons que les entreprises seront en mesure d’absorber une phase de ralentissement sans perdre leur notation de crédit ou faire défaut (scénario central : défauts faibles et récession modeste).

En ce début de quatrième trimestre 2022, nous restons prudents à l’égard du marché américain high yield. Les fondamentaux des entreprises devraient commencer à se dégrader face au ralentissement de la croissance mondiale.

Le niveau actuel des taux de défaut et des difficultés financières reste faible, mais il augmente progressivement. Il sera essentiel de réévaluer chaque émetteur et de rééquilibrer les portefeuilles afin de mieux anticiper les risques potentiels à venir, tout en assurant un positionnement de nature à générer une performance solide sur l’ensemble du cycle de crédit. Selon nous, il est nécessaire d’assurer une gestion prudente du risque de crédit pour composer avec ce nouveau type de marché.

Produits titrisés

ANALYSE MENSUELLE

Septembre a encore été un mois difficile en raison de la hausse encore marquée des taux d'intérêt et les spreads des titres adossés à des créances hypothécaires et des crédits titrisés se sont encore élargis. Les portefeuilles titrisés ont surperformé la plupart des autres segments de marché grâce à des durations plus courtes - qui ont atténué l'impact subi par les prix de marché - et à des flux de trésorerie plus élevés. Les spreads des MBS d'agences versant des coupons se sont élargis et le rendement de l'indice Bloomberg MBS s’est révélé négatif. Les spreads des RMBS américains non émis par des agences se sont également élargis en septembre, dans le sillage des ventes paniques et des préoccupations croissantes en matière de liquidité. Les spreads des ABS américains se sont légèrement élargis en septembre, malgré l'absence favorable de nouvelles émissions. Les spreads des CMBS américains se sont également élargis en raison de conditions de crédit toujours défavorables. Les marchés européens du crédit titrisé restent sous pression et les spreads de ces actifs se sont nettement élargis en septembre7

PERSPECTIVES

Nos perspectives vis-à-vis du crédit titrisé restent positives. Nous pensons que les spreads offrent désormais des primes de risque attractives pour le risque encouru. Les niveaux des spreads de crédit de nombreux actifs titrisés demeurent les mêmes que ceux observés au cœur de la pandémie, mais les conditions de crédit semblent nettement meilleures aujourd’hui que durant cette période.

 
 

Les points de vue et opinions exprimés sont ceux de l’équipe de gestion de portefeuille à octobre 2022 et sont sujets à modification en fonction des conditions de marché, économiques ou autres. La performance passée n’est pas un indicateur fiable des performances futures.

1 Source : Bloomberg. Données au 30 septembre 2022.
2 Source : Bloomberg. Données au 30 septembre 2022. Les obligations d’entreprises émergentes sont représentées par l’indice JP Morgan CEMBI Broad Diversified.
3 Source : Indices Bloomberg : indice U.S. Corporate et indice European Aggregate Corporate. Données au 30 septembre 2022.
4 Source : J.P. Morgan et indice Bloomberg US Corporate High Yield. Données au 30 septembre 2022.
5 Source : Indice Refinitiv Global Convertibles Focus. Données au 30 septembre 2022.
6 Source : Indice S&P/LSTA Leveraged Loan. Données au 30 septembre 2022.
7 Source : Bloomberg, données au 30 septembre 2022.

 
 
 
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Considérations sur les risques

La diversification ne garantit pas un profit ni une protection contre les pertes dans un marché en déclin.

Il ne peut être garanti qu’un portefeuille atteindra son objectif d’investissement. Les portefeuilles sont soumis au risque de marché, c’est-à-dire à la possibilité que la valeur des titres détenus par le portefeuille diminue et que la valeur des actions du portefeuille soit donc inférieure à celle que vous avez payée. Les valeurs boursières peuvent varier quotidiennement en fonction de facteurs économiques ou d’autre nature (par ex. catastrophes naturelles, crises sanitaires, terrorisme, conflits et troubles sociaux) qui ont des répercussions sur les marchés, les pays, les entreprises ou les gouvernements. Il est  difficile de prévoir le calendrier, la durée et les éventuels effets négatifs (par ex. liquidité du portefeuille) liés à de tels événements. Par conséquent, vous pouvez perdre de l’argent en investissant dans un portefeuille. Les titres obligataires sont soumis à la capacité d’un émetteur de rembourser le principal et les intérêts (risque de crédit), aux fluctuations des taux d’intérêt, à la solvabilité de l’émetteur et la liquidité générale du marché (risque de marché). Dans un contexte de hausse des taux d’intérêt, les prix des obligations pourraient baisser et entraîner des périodes de volatilité et des rachats plus importants. Dans un environnement de taux d’intérêt en baisse, le portefeuille peut générer des revenus moindres. Les titres à plus long terme peuvent être plus sensibles aux variations de taux d’intérêt. Certains titres du gouvernement américain achetés dans cette stratégie, tels que ceux émis par Fannie Mae et Freddie Mac, ne sont pas adossés pleinement à une garantie de l’État. Il est possible que ces émetteurs ne disposent pas des fonds nécessaires pour rembourser leurs obligations à l’avenir. Les emprunts bancaires publics sont soumis au risque de liquidité et aux risques de crédit des titres moins bien notés. Les titres high yield (obligations spéculatives) sont des titres moins bien notés qui peuvent présenter un risque de crédit et de liquidité plus élevé. Les titres de créance souverains sont soumis au risque de défaut. Les titres adossés à des créances hypothécaires et à des actifs sont sensibles au risque de remboursement anticipé et présentent un risque de défaut plus élevé, et peuvent être difficiles à évaluer et difficiles à vendre (risque de liquidité). Ils sont également soumis aux risques de crédit, de marché et de taux d’intérêt. Le marché des changes est très volatil. Les prix sur ces marchés sont influencés, entre autres, par l’évolution de l’offre et de la demande d’une devise particulière, les échanges commerciaux, les programmes et les politiques budgétaires, financières et de contrôle des changes ou des devises nationales ou étrangères, et les variations des taux d’intérêt domestiques et étrangers. Les investissements sur les marchés étrangers s’accompagnent de risques particuliers, notamment les risques de change, politiques, et économiques. Les risques associés aux investissements dans les pays émergents sont plus élevés que ceux associés aux investissements étrangers. Les instruments dérivés peuvent augmenter les pertes de façon disproportionnée et avoir un impact significatif sur la performance. Ils peuvent également être soumis aux risques de contrepartie, de liquidité, de valorisation, de corrélation et de marché. Les titres illiquides et soumis à restrictions peuvent être plus difficiles à vendre et à valoriser que les titres cotés en bourse (risque de liquidité). En raison de la possibilité que les remboursements anticipés modifient les flux de trésorerie des obligations hypothécaires collatéralisées - (CMO), il est impossible de déterminer à l’avance leur date d’échéance finale ou leur durée de vie moyenne. En outre, si le collatéral des CMO ou les garanties de tiers sont insuffisants pour effectuer les paiements, le portefeuille pourrait subir une perte.

 
 

DÉFINITIONS
Points de base :
1 point de base = 0,01 %.

DÉFINITIONS DES INDICES
Les indices présentés dans ce rapport ne sont pas destinés à décrire la performance d’un investissement spécifique, et les indices présentés n’incluent pas les dépenses, frais ou coût d’acquisition, ce qui diminuerait la performance. Les indices indiqués ne sont pas gérés et ne doivent pas être considérés comme un investissement. Il n’est pas possible d’investir directement dans un indice.

Bloomberg® et les indices Bloomberg sont utilisés comme des marques de service de Bloomberg Finance L.P. et de ses sociétés affiliées, et ont fait l’objet d’une licence d’utilisation à certaines fins par Morgan Stanley Investment Management (MSIM). Non affilié à MSIM, Bloomberg n’approuve, ne soutient, ne contrôle ni ne recommande aucun produit, et ne garantit pas l’adéquation, l’exactitude ou l’exhaustivité des données ou des informations relatives à un produit.

L’indice Bloomberg Euro Aggregate Corporate (Bloomberg Euro IG Corporate) est un indice conçu pour refléter la performance du marché des obligations d’entreprise « investment grade » en euros.

L’indice Bloomberg Global Aggregate Corporate est la composante « entreprise » de l’indice Bloomberg Global Aggregate. Ce dernier permet de mesurer l’évolution générale des marchés obligataires mondiaux « investment grade ».

L’indice Bloomberg U.S. Corporate High Yield mesure la performance du marché des obligations d’entreprises à haut rendement libellées en USD, à taux fixe et imposables. Les titres sont classés dans la catégorie à haut rendement si la note moyenne de Moody’s, Fitch et S&P est inférieure ou égale à Ba1/BB+/BB+. L’indice ne tient pas compte de la dette émergente.

L’indice Bloomberg U.S. Corporate est un indice de référence général qui mesure les performances du marché des obligations d’entreprise IG, à taux fixe et imposables.

L’indice Bloomberg U.S. Mortgage Backed Securities (MBS) réplique les performances des titres pass-through adossés à des créances hypothécaires (ARM à taux fixe et hybride) garantis par Ginnie Mae (GNMA), Fannie Mae (FNMA) et Freddie Mac (FHLMC). L’indice est construit en regroupant les blocs de MBS livrables à venir en lots ou génériques suivant le programme, le coupon et le millésime. Introduits en 1985, les indices à taux fixe GNMA, FHLMC et FNMA pour les titres à 30 et 15 ans ont été antidatés aux mois de janvier 1976, mai 1977 et novembre 1982, respectivement. En avril 2007, des titres hypothécaires hybrides à taux variable (ARM) ont été ajoutés à l’indice.

L’Indice des prix à la consommation (IPC) est une mesure qui examine la moyenne pondérée des prix d’un panier de biens et services de consommation, tels que le transport, la nourriture et les soins médicaux.

Euro vs USD- Performance totale de l’euro par rapport au dollar US.

Emprunts d’État allemands à 10 ans – Indice Germany Benchmark 10 - Year Datastream Government ; Emprunts d’État japonais à 10 ans – Indice Japan Benchmark 10-Year Datastream Government ; et Bons du Trésor américain à 10 ans – Indice U.S. Benchmark 10— Year Datastream Government.

L’indice ICE BofAML European Currency High-Yield Constrained (ICE BofAML Euro HY constrained) a vocation à répliquer la performance en euro et en livre sterling de la dette d’entreprise non IG (spéculative) émise sur les marchés des eurobonds.

L’indice ICE BofAML U.S. Mortgage-Backed Securities (ICE BofAML U.S. Mortgage Master) réplique la performance des titres « pass-through » adossés à des créances hypothécaires résidentielles à taux fixe et hybrides libellés en dollars américains et émis publiquement par des agences américaines sur le marché domestique américain.

L’indice ICE BofAML United States High Yield Master II Constrained (ICE BofAML U.S. High Yield) est un indice pondéré en fonction de la valeur de marché de toutes les obligations domestiques et yankee à haut rendement, y compris les obligations à paiement différé ou en cash. Ses titres ont des échéances d’un an ou plus et une note de crédit inférieure à BBB- / Baa3, mais ne sont pas en défaut.

L’indice ISM manufacturier repose sur des enquêtes menées auprès de plus de 300 entreprises manufacturières par l’« Institute of Supply Management ». L’indice ISM manufacturier assure un suivi de l’emploi, des stocks de production, des nouvelles commandes et des livraisons des fournisseurs. Un indice de diffusion composite est créé pour surveiller les conditions dans le secteur manufacturier national, sur la base des données de ces enquêtes.

Emprunts d’État italiens à 10 ans — Indice Italy Benchmark 10-Year Datastream Government.

L’indice JP Morgan CEMBI Broad Diversified est un indice de référence mondial des marchés émergents liquides qui réplique les performances des obligations d’entreprise libellées en dollars américains émises par des entités des marchés émergents.

L’indice JP Morgan Government Bond Emerging Markets (JPM Local EM debt) réplique la performance des obligations en devise locale émises par les gouvernements des marchés émergents. L’indice est positionné comme indice de référence investissable qui inclut uniquement les pays qui sont accessibles par la plupart des investisseurs internationaux (à l’exclusion de la Chine et de l’Inde en septembre 2013).

L’indice JP Morgan Government Bond Index Emerging Markets (JPM External EM Debt) réplique les performances des obligations en devise locale émises par les gouvernements des marchés émergents. L’indice est positionné comme indice de référence investissable qui inclut uniquement les pays qui sont accessibles par la plupart des investisseurs internationaux (à l’exclusion de la Chine et de l’Inde en septembre 2013).

L’indice JP Morgan Emerging Markets Bond Index Global (EMBI Global) réplique le rendement total des instruments de dette extérieure négociés sur les marchés émergents et constitue une version élargie de l’EMBI +. Comme l’indice EMBI +, l’indice EMBI Global comprend des obligations Brady libellées en dollars américains, des prêts et des euro-obligations d’une valeur nominale en circulation d’au moins 500 millions de dollars.

L’indice JP Morgan GBI-EM Global Diversified est un indice de référence mondial liquide pondéré en fonction de la capitalisation boursière pour les obligations d’entreprise émergentes libellées en dollar américain représentant l’Asie, l’Amérique latine, l’Europe et le Moyen-Orient/Afrique.

JPY vs. USD - Rendement total en yen japonais par rapport au dollar américain.

L’indice Nikkei 225 (Japon Nikkei 225) est un indice pondéré par les prix des 225 principales sociétés japonaises à la Bourse de Tokyo.

L’indice MSCI AC Asia ex Japon (MSCI Asie hors Japon) réplique la performance des grandes et moyennes capitalisations de deux pays développés sur trois (à l’exclusion du Japon) et de huit pays émergents d’Asie.

L’indice MSCI All Country World (ACWI, MSCI actions monde) est un indice pondéré par la capitalisation boursière ajustée du flottant, conçu pour mesurer la performance des marchés boursiers mondiaux. Le terme « flottant » représente la part des actions en circulation qui sont considérées comme disponibles à l’achat sur les marchés d’actions publics par les investisseurs. La performance de l’indice est cotée en dollars américains et sous-entend le réinvestissement des dividendes nets.

L’indice MSCI Emerging Markets (MSCI emerging equities) réplique les performances des grandes et moyennes capitalisations de 23 pays émergents.

L’indice MSCI World (MSCI developed equities) reflète les performances de grandes et moyennes capitalisations de 23 pays développés (PD).

L’Indice des directeurs d’achat (PMI) est un indicateur de la santé économique du secteur manufacturier.

L’indice Refinitiv Convertible Global Focus USD Hedged est un indice pondéré par le marché qui inclut des obligations convertibles en actions d’une taille unitaire minimale de 500 millions de dollars (États-Unis), 200 millions d’euros (Europe), 22 milliards de yens et 275 millions de dollars (autres pays).

L’indice Russell 2000® mesure la performance des 2 000 plus petites sociétés de l’indice Russell 3000.

L’indice S&P 500® (US S&P 500) mesure la performance du segment des grandes capitalisations du marché des actions américaines, et couvre environ 75 % de ce marché. L’indice comprend 500 entreprises de premier plan dans les principaux secteurs de l’économie américaine.

L’indice S&P CoreLogic Case-Shiller U.S. National Home Price NSA cherche à mesurer la valeur de l’immobilier résidentiel dans 20 grandes zones métropolitaines américaines : Atlanta, Boston, Charlotte, Chicago, Cleveland, Dallas, Denver, Detroit, Las Vegas, Los Angeles, Miami, Minneapolis, New York, Phoenix, Portland, San Diego, San Francisco, Seattle, Tampa et Washington.

L’indice S&P/LSTA U.S. Leveraged Loan 100 (S&P/LSTA Leveraged Loan Index) a vocation à refléter la performance des plus grandes opérations du marché des prêts à effet de levier.

L’indice S&P GSCI Copper (Copper), un sous-indice de l’indice S&P GSCI, fournit aux investisseurs un indice de référence fiable et publiquement disponible pour suivre la performance des investissements sur le marché du cuivre.

L’indice S&P GSCI Softs (GSCI soft commodities) est un sous-indice de l’indice S&P GSCI qui mesure la performance des seules matières premières agricoles, pondérée en fonction de la production mondiale. En 2012, l’indice S&P GSCI Softs comprenait les matières premières suivantes : café, sucre, cacao et coton.

Emprunts d’État espagnols à 10 ans – Spain Benchmark 10-Year Datastream Government Index.

L’indice Thomson Reuters Convertible Global Focus USD Hedged est un indice pondéré par le marché qui inclut des obligations convertibles en actions d’une taille unitaire minimale de 500 millions de dollars (États-Unis), 200 millions d’euros (Europe), 22 milliards de yens, et 275 millions de dollars (autres pays).

Emprunts d’État britanniques à 10 ans -–U.K. Benchmark 10-Year Datastream Government Index. Pour les indices d’obligations gouvernementales Datastream suivants, les indices de référence sont basés sur des obligations spécifiques. L’obligation choisie pour chaque série est l’obligation la plus représentative disponible pour la fourchette d’échéances données pour chaque point. Les indices de référence sont sélectionnés en fonction des conventions acceptées dans chaque marché. Généralement, l’obligation de référence est la dernière émission dans la fourchette d’échéance donnée ; il est également tenu compte du rendement, de la liquidité, de la taille de l’émission et du coupon.

L’indice U.S. Dollar Index (DXY) est un indice de la valeur du dollar américain par rapport à un panier de monnaies, souvent appelé panier de devises des partenaires commerciaux des États-Unis.

L’indice de volatilité (VIX) du Chicago Board Options Exchange (CBOE) reflète les anticipations du marché en matière de volatilité à 30 jours.

Il n’y a aucune garantie qu’une stratégie d’investissement fonctionnera dans toutes les conditions du marché et il revient à chaque investisseur d’évaluer sa capacité à investir à long terme, surtout pendant les périodes de détérioration du marché.

Les comptes dédiés gérés séparément peuvent ne pas être adaptés pour tous les investisseurs. Les comptes dédiés gérés conformément à cette Stratégie peuvent détenir des titres qui ne suivent pas nécessairement la performance d’un indice particulier. Un niveau d’investissement minimum est requis.

Vous trouverez des informations importantes sur les gestionnaires financiers dans la partie 2 du formulaire ADV.

Les opinions et les points de vue et/ou les analyses exprimés sont ceux de l’auteur ou de l’équipe de gestion à la date de publication : ils peuvent être modifiés à tout instant au gré de l’évolution des conditions de marché ou de la conjoncture économique et ne pas se concrétiser. En outre, les opinions ne seront pas mises à jour ou corrigées dans le but de refléter les informations publiées a posteriori, des situations existantes ou des changements se produisant après la date de publication. Les opinions exprimées ne reflètent pas les opinions de tous les gérants de portefeuille de Morgan Stanley Investment Management (MSIM) et ses filiales et sociétés affiliées (collectivement désignées par « la Société »). Elles peuvent ne pas être prises en compte dans toutes les stratégies et les produits proposés par la société.

Les prévisions et/ou estimations fournies dans le présent document sont susceptibles de changer et pourraient ne pas se matérialiser. Les informations concernant les performances attendues et les perspectives de marché sont basées sur la recherche, l’analyse et les opinions des auteurs ou de l’équipe de gestion. Ces conclusions sont de nature spéculative, peuvent ne pas se concrétiser et ne visent pas à prédire la performance future d’une stratégie ou d’un produit proposé par la Société. Les résultats futurs peuvent considérablement varier en fonction de facteurs tels que l’évolution des marchés des valeurs mobilières ou des marchés financiers ou des conditions économiques générales.

Ce document a été préparé sur la base d’informations publiques, de données élaborées en interne et d’autres sources externes jugées fiables. Toutefois, aucune garantie n’est donnée quant à la fiabilité de ces informations et la Société n’a pas cherché à vérifier en toute indépendance les informations provenant de sources publiques et externes.

Ce document constitue une communication générale, qui n’est pas impartiale et toute l’information qu’il contient a été préparée uniquement à des fins d’information et de formation et ne constitue pas une offre ni une recommandation d’achat ni de vente d’un titre en particulier ni d’adoption d’une stratégie d’investissement particulière. Les informations contenues dans le présent document ne s’appuient pas sur la situation d’un client en particulier. Elles ne constituent pas un conseil d’investissement et ne doivent pas être interprétées comme constituant un conseil en matière fiscale, comptable, juridique ni réglementaire. Avant de prendre une décision d’investissement, les investisseurs doivent solliciter l’avis d’un conseiller juridique et financier indépendant, y compris s’agissant des conséquences fiscales.

Les graphiques et diagrammes fournis dans le présent document le sont uniquement à titre d’illustration. Les performances passées ne sont pas un indicateur fiable des performances futures.

Les indices ne sont pas gérés et ne comprennent ni frais, ni droits, ni commissions de vente. Il n’est pas possible d’investir directement dans un indice. Tout indice mentionné dans le présent document est la propriété intellectuelle du fournisseur concerné (y compris les marques déposées). Les produits basés sur des indices ne sont pas recommandés, avalisés, vendus ou promus par le fournisseur concerné, qui se dégage de toute responsabilité à leur égard.

Ce document n’est pas un produit du département de recherche de Morgan Stanley et ne doit pas être considéré comme un document ou une recommandation de recherche

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Eaton Vance fait partie de Morgan Stanley Investment Management. Morgan Stanley Investment Management est la division de gestion d’actifs de Morgan Stanley.

DISTRIBUTION

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MSIM, la division de gestion d’actifs de Morgan Stanley (NYSE : MS) et ses sociétés affiliées ont passé des accords pour commercialiser leurs produits et services respectifs. Chaque société affiliée de MSIM est réglementée de manière appropriée dans la juridiction où elle opère. Les sociétés affiliées de MSIM sont : Eaton Vance Management (International) Limited, Eaton Vance Advisers International Ltd, Calvert Research and Management, Eaton Vance Management, Parametric Portfolio Associates LLC, Atlanta Capital Management LLC et Eaton Vance Management International (Asia) Pte. Ltd.

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EMEA :

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Dans l’UE, les documents de MSIM et d’Eaton Vance sont publiés par MSIM Fund Management (Ireland) Limited (« FMIL »). FMIL est une société privée à responsabilité limitée par actions immatriculée en Irlande sous le numéro 616661 et réglementée par la Banque Centrale d’Irlande. Son siège social est situé à l’adresse The Observatory, 7-11 Sir John Rogerson’s Quay, Dublin 2, D02 VC42, Irlande.

En dehors de l’UE, les documents de MSIM sont publiés par Morgan Stanley Investment Management Limited (MSIM Ltd), une société agréée et réglementée par la Financial Conduct Authority. Enregistrée en Angleterre. Numéro d’enregistrement : 1981121. Siège social : 25 Cabot Square, Canary Wharf, London E14 4QA.

En Suisse, les documents de MSIM sont publiés par Morgan Stanley & Co. International plc, Londres, succursale de Zurich, une société agréée et réglementée par l’Autorité fédérale de surveillance des marchés financiers (« FINMA »). Siège social : Beethovenstrasse 33, 8002 Zurich, Suisse.

En dehors des États-Unis et de l’Union européenne, les documents d’Eaton Vance sont publiés par Eaton Vance Management (International) Limited (« EVMI ») 125 Old Broad Street, Londres, EC2N 1AR, Royaume-Uni, qui est agréé et réglementé au Royaume-Uni par la Financial Conduct Authority.

Italie : MSIM FMIL (succursale de Milan), (Sede Secondaria di Milano), Palazzo Serbelloni Corso Venezia, 16 20121 Milan, Italie. Pays-Bas : MSIM FMIL (succursale d’Amsterdam), Tour Rembrandt, 11e étage Amstelplein 1 1096HA, Pays-Bas. France : MSIM FMIL (succursale de Paris), 61, rue de Monceau, 75008 Paris, France. Espagne : MSIM FMIL (succursale de Madrid), Calle Serrano 55, 28006, Madrid, Espagne. Allemagne : : MSIM FMIL (succursale de Francfort), Niederlassung Deutschland, Grosse Gallusstrasse 18, 60312 Francfort, Allemagne (Catégorie : Branch Office (FDI) selon § 53b KWG).

MOYEN-ORIENT

Dubaï : MSIM Ltd (Bureau de représentation, Unit Precinct 3-7 th Floor-Unit 701 and 702, Level 7, Gate Precinct Building 3, Dubai International Financial Centre, Dubaï, 506501, Émirats arabes unis. Téléphone : +97 (0)14 709 7158).

États-Unis

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Amérique latine (Brésil, Chili, Colombie, Mexique, Pérou et Uruguay) Ce document est destiné uniquement aux investisseurs institutionnels ou qualifiés. Toutes les informations contenues dans ce document sont confidentielles et destinées à l’usage et à l’examen exclusifs de son destinataire visé et ne sauraient être transmises à un tiers. Ce document est fourni à titre d’information uniquement et ne constitue ni une offre publique, ni une sollicitation ni une recommandation d’achat ou de vente d’un(e) quelconque produit, service, instrument financier et/ou stratégie. La décision d’investir ne doit être prise qu’après avoir lu la documentation sur la stratégie et mené une due diligence approfondie et indépendante.

ASIE-PACIFIQUE

Hong Kong : Le présent document est publié par Morgan Stanley Asia Limited aux fins d’utilisation à Hong Kong et ne peut être diffusé qu’auprès d’« investisseurs professionnels » au sens du Securities and Futures Ordinance (décret sur les valeurs mobilières et les contrats à terme) de Hong Kong (Cap 571). Le contenu du présent document n’a été révisé ni approuvé par aucune autorité de réglementation, y compris la Securities and Futures Commission de Hong Kong. En conséquence, à moins que la loi en vigueur ne prévoie des exceptions, ce document ne devra pas être publié, diffusé, distribué ni adressé aux particuliers résidant à Hong Kong, ni mis à leur disposition. Singapour : Le présent document ne doit pas être transféré ou distribué, directement ou indirectement, à des personnes autres que (i) les investisseurs accrédités, (ii) les investisseurs spécialisés ou (iii) les investisseurs institutionnels tels que définis dans la Section 4A de la loi singapourienne Securities and Futures Act (« SFA »), Chapitre 289 ; ou (iv) les personnes concernées par toute autre disposition applicable de la SFA, et conformément aux conditions de celle-ci. Cette publication n’a pas été vérifiée par l’Autorité monétaire de Singapour. Eaton Vance Management International (Asia) Pte. Ltd. (« EVMIA ») a obtenu de l’Autorité monétaire de Singapour (MAS), son autorité de tutelle, une licence pour la prestation de services relatifs aux marchés de capitaux tels que la gestion de fonds en vertu de la Securities and Futures Act (« SFA ») et bénéficie du statut de Conseiller financier exempt conformément à la section 23(1)(d) de la Financial Adviser Act. Eaton Vance Management, Eaton Vance Management (International) Limited et Parametric Portfolio Associates® LLC bénéficient d’une dérogation en vertu de l’annexe 3, paragraphe 9, de la SFA à Singapour pour mener des activités de gestion de fonds en vertu d’un accord avec EVMIA et sous réserve de certaines conditions. Aucune autre des entités du groupe Eaton Vance ou de ses sociétés affiliées ne détient une licence ou un agrément pour mener des activités réglementées ou requérant une licence et aucun élément du présent document ne saurait signifier ou laisser penser que ces entités ou sociétés affiliées se présentent comme étant titulaires d’une licence, approuvées, agréées ou réglementées à Singapour, ou proposent ou commercialisent leurs services ou leurs produits. Australie : La présente publication est diffusée en Australie par Morgan Stanley Investment Management (Australia) Pty Limited ACN : 122040037, licence AFS n° 314182, qui accepte la responsabilité de son contenu. La présente publication, ainsi que l’accès à celle-ci, est réservée aux « clients distributeurs » selon l’acception de ce terme dans la loi sur les sociétés en vigueur en Australie. EVMI est exemptée de l’obligation de détenir une licence de services financiers australienne en vertu de la loi sur les sociétés en ce qui concerne l’offre de services financiers à des clients distributeurs, tels que définis dans la loi sur les sociétés de 2001 (Cth) et conformément à l’ASIC Corporations (Repeal and Transitional) Instrument 2016/396. Calvert Research and Management, ARBN 635 157 434, est réglementé par la U.S. Securities and Exchange Commission, en vertu des lois américaines qui diffèrent des lois australiennes. Calvert Research and Management est exempté de l’obligation de détenir une licence de services financiers australienne conformément à l’ordonnance 03/1100 relative à la fourniture de services financiers aux « clients wholesale » en Australie.

Japon :

Pour les investisseurs professionnels, ce document est distribué à titre informatif seulement. Pour ceux qui ne sont pas des investisseurs professionnels, ce document est fourni par Morgan Stanley Investment Management (Japan) Co., Ltd. (« MSIMJ ») dans le cadre de conventions de gestion de placements discrétionnaires (« IMA ») et de conventions de conseils en placement (« AAI »). Il ne s’agit pas d’une recommandation ni d’une sollicitation de transactions ou offre d’instruments financiers particuliers. En vertu d’une convention IMA, en ce qui concerne la gestion des actifs d’un client, le client prescrit à l’avance les politiques de gestion de base et charge MSIMJ de prendre toutes les décisions d’investissement en fonction de l’analyse de la valeur des titres et MSIMJ accepte cette mission. Le client doit déléguer à MSIMJ les pouvoirs nécessaires à l’investissement. MSIMJ exerce les pouvoirs délégués en fonction des décisions d’investissement de MSIMJ, et le client s’interdit d’émettre des instructions individuelles. Tous les profits et pertes d’investissement reviennent aux clients ; le principal n’est pas garanti. Les investisseurs doivent étudier attentivement les objectifs d’investissement, la nature des risques et les frais associés à la stratégie avant d’investir. À titre de commission de conseils en investissement pour une gestion conseillée (IAA) ou une discrétionnaire (AMIIMA), le montant des biens assujettis au contrat multiplié par un certain taux (la limite supérieure est de 2,20 % par année (taxes comprises)) sera engagé proportionnellement à la durée du contrat. Pour certaines stratégies, des honoraires conditionnels peuvent être compris en plus des frais mentionnés ci-dessus. Des frais indirects peuvent également être supportés, tels que des commissions de courtage pour des titres émis par des personnes morales. Étant donné que ces frais et dépenses sont différents selon le contrat et d’autres facteurs, MSIMJ ne peut pas préciser les taux, les limites supérieures, etc. à l’avance. Tous les clients doivent lire attentivement les documents fournis avant la conclusion et l’exécution d’un contrat. Ce document est diffusé au Japon par MSIMJ, enregistré sous le n° 410 (Directeur du Bureau des Finances Locales de Kanto (Entreprises d’Instruments Financiers)), Membres : de la Japan Securities Dealers Association, de la Investment Trusts Association, de la Japan Investment Advisers Association et de la Type II Financial Instruments Firms Association.

 

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